Laurent Cabasso, président du jury de la demi-finale du concours piano des Virtuoses du Cœur 2015

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« Cabasso marche sur les pas de Kempff, Haskil, Nat, Schnabel, avec un instinct poétique, une liberté d’allure qui distinguent cet artiste dans une génération riche en talents de premier plan. » – Alain Lompech (Le Monde)

Lauréat de grands concours internationaux (Prix Géza Anda de Zürich en 1982, Tokyo en 1983, finaliste du concours Clara Haskil à Vevey en 1987), Laurent Cabasso entame alors une importante carrière musicale internationale. Il donne de nombreux récitals et concerts à Paris, (Théâtre des Champs-Élysées, Salle Pleyel..), Zurich, Amsterdam et se produit dans de grands festivals (La Roque d’Anthéron, Piano aux Jacobins, Besançon, Montpellier ainsi qu’en Amérique et en Asie).
Invité de grands orchestres, dont l’Orchestre National de France, passionné de musique de chambre, il se produit régulièrement dans de nombreuses formations aux côtés des meilleurs musiciens d’aujourd’hui (Sonia Wieder-Atherton, Alexandre Tharaud, Gérard Poulet, Sylvia Marcovici, Vadim Repin, Olivier Vernet, Quatuor Ardeo…)

Laurent Cabasso enseigne au Conservatoire à Rayonnement Régional (Académie Supérieure de Musique) de Strasbourg depuis 1993 et au Conservatoire National de Musique de Paris.

Une discographie toujours saluée

La discographie de Laurent Cabasso restitue bien son approche de la musique et fait toujours l’objet d’un accueil chaleureux. Schumann : Choc du Monde de la musique, ffff de Télérama ; Prokofiev : Grand Prix du disque de l’Académie du disque français ; Chostakovitch/Prokofiev avec Sonia Wieder-Atherton : Joker de Crescendo ; Beethoven : sélectionné dans Le Monde parmi les meilleurs disques de l’année ; Diapason d’or pour son enregistrement consacré à Liszt avec l’organiste Olivier Vernet. Son dernier enregistrement consacré aux Variations Diabelli de Beethoven et à la Wanderer-Fantaisie de Schubert, qui paraît fin 2011 chez Naïve, est salué unanimement par la presse. Le disque est sélectionné par France Musique et par Télérama (ffff) où Gilles Macassar écrit : « Son enregistrement s’impose d’emblée avec une évidence si forte, une telle impression de « c’est ça », qu’on est certain de détenir une interprétation qui fera date. Une version de référence ? Mieux : un engagement souverainement personnel, à la fois pleinement libre et scrupuleusement exact ! »